"Fonctionnement du service de comparaison"

Classement des banques en fonction du Produit Net Bancaire 2016

Le PNB c’est « l'équivalent de la valeur ajoutée créée par l'activité », autrement dit « c’est la somme de la marge d'intermédiation et des commissions nettes ». Un classement pas très intéressant pour un particulier qui recherche un banque, mais qui a tout de même sa place ici.

Si vous cherchez à comparer les banques de réseaux ou banques en ligne, on vous encourage à aller sur le comparatif de quelle banque choisir, à consulter le classement des banques les moins chères, le top 10 des meilleures banques en France, ou bien encore l’article sur la meilleure banque de France en 2017.

PNB : Définition de l’INSEE

« Le produit net bancaire est la différence entre les produits et les charges d'exploitation bancaires hors intérêts sur créances douteuses mais y compris les dotations et reprises de provisions pour dépréciation des titres de placement. Il mesure la contribution spécifique des banques à l'augmentation de la richesse nationale et peut en cela être rapproché de la valeur ajoutée dégagée par les entreprises non financières. »

Le classement par PNB en 2016

  • BNP Paribas : 43,4 milliards d'euros (+1,1%),
  • Groupe Crédit Agricole : 30,4 milliards d'euros (-4,4%),
  • Crédit agricole SA (les agences régionales) : 16,9 milliards d'euros (-2%),
  • La Société Générale : 25,3 milliards (-1,3%),
  • BPCE (Banque populaire, Caisse d'Epargne) : 24,2 milliards (+2,1%),
  • Crédit mutuel-CM11 : 13,3 milliards (+3,6%),
  • La Banque postale : 5,6 milliards (-2,5%).

Source : estrepublicain.fr

Pendant qu’en Europe, leur résultat net par groupe :

  • 7,7 milliards d'euros (+15,1%);
  • 4,8 milliards d'euros (-20,2%);
  • 3,54 milliards d'euros (+0,7%);
  • 3,87 milliards d'euros (-3,2%);
  • 3,99 milliards d'euros (+26,7%);
  • 2,41 milliards d'euros (+6,9%) ;
  • 0,69 milliard d'euros (-1,8%).

L’EST Republicain relève que c’est : « Une performance éclatante face aux pertes de leurs concurrents européens tels que Deutsche Bank, UniCredit ou RBS. Cependant, les banques françaises restent bien loin des résultats dégagés par les banques américaines : à elle seule, JP Morgan -responsable en partie de la crise des subprimes- affiche un bénéfice net de 27,8 milliards de dollars en 2016. ».